La correspondance entre Brancusi et la jeune danseuse suisse Marthe Lebherz, venue à Paris parfaire ses études, a été soigneusement conservée par l’artiste qui souhaitait la publier comme un roman d’amour.
Secrétaire de Brancusi, Marthe Lebherz a été amenée à gérer les affaires de l’atelier notamment pendant l’absence du sculpteur parti aux États-Unis préparer son exposition à la Brummer Gallery.
Ces lettres parfois illustrées de dessins de Brancusi sur le thème du Baiser constituent aussi un témoignage sur l’activité artistique du sculpteur entre 1925 et 1928.
Correspondance réunie par Doïna Lemny
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L'Œil, avril 2018 : « d'une élégance extrême », « éblouissant » |