« Les boules se pressent contre la terre comme les phrases contre le temps. le temps tue les phrases parce qu'il est discontinu. Chacune a une fin, s'interrompt ou s'achève de sa belle mort. Il en vient à bout. Mais aussi il les fait repartir : une autre phrase, encore, est possible, permet-il, après celle qui vient de finir, comme après le dernier souffle du moribond ceux qui l'assistaient se remettent à parler. Encore : la face vie du temps. Ne plus : sa face mort » Jean-François Lyotard
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